Google : Un bracelet connecté pour les études cliniques

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Alors que les condamnations et les poursuites continuent de pleuvoir contre les particuliers, les Français continuent de s’adonner à la pratique. Ainsi, en mai dernier, pas moins de 10 millions de Français se sont rendus sur l’un des quinze principaux sites de piratage rapporte Le Figaro. Face à ce chiffre, qui reste stable depuis deux ans, les ayants droit reconnaissent, non sans regrets, qu’il existe « une base incompressible de Français, qui trouveront toujours le moyen de pirater leurs œuvres ».

Pendant longtemps en France,le téléchargement illégal en peer-to-peer (lire encadré) était monnaie courante. Suite à l’intervention du législateur, via la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) avec l’envoi des premiers « courriers d’avertissements », la donne a changé.

En janvier 2012, un rapport de l’International Federation of the Phonographic Industry (IFPI) révélait que le nombre d’utilisateurs du peer-to-peer avait chuté de 26 % en moins de deux ans. Malgré ce constat, 4 millions de Français continuent d’utiliser les sites de peer-to-peer tels que Bittorent précise le quotidien, qui souligne que le reste des internautes s’est depuis tourné vers les sites de téléchargement et de streaming, jugés plus discrets. Parmi ces plateformes dédiées au téléchargement figure Zone Telechargement. Apparu à l’été 2011, le site (plébiscité par 3,5 millions de Français au mois de mai, NDLR) propose des films, des séries, des jeux vidéo ou encore de la musique mais, à la différence du peer-to peer, n’héberge pas les fichiers, se contentant plutôt de renvoyer les internautes vers des services de stockages tels Uptobox, 1fichier et Rapidgator .

R. M.