Une faille dans le système informatique des douanes a été localisée lors de l’introduction du NIF(numéro d’identification fiscale), intégré dans la fin des années 2000 au SIGAD dans le but d’assainir l’économie nationale en filtrant les resquilleurs fictifs.
Cette faille a donné l’occasion certains importateurs fictifs ou bannis de faire entrer des marchandises importées sans qu’ils ne soient signalés ou filtrés. Ces fraudeurs ajoutaient seulement un chiffre précis au numéro d’identification fiscale, lors de son introduction dans la déclaration SIGAD, pour outrepasser le contrôle par filtre mis en place par le service des Douanes.