France : quand un Algérien agresse un militant du parti de Zemmour

France : quand un Algérien agresse un militant du parti de Zemmour

Le 31 mai 2022 à 19 heures, un certain père de famille nombreuse a été agressé à Nogent-sur-Marne; plus précisément au niveau de la gare du RER A. Un individu alcoolisé s’est approché de François .L mais aussi de l’autre militante qui était en sa compagnie pour les agresser violemment.

En plein tractage pour une candidature du mouvement Reconquête aux législatives, Mohamed B, l’Algérien de 39 ans, s’est emparé du tract que la victime lui a donné pour le brûler; Et a commencé  par la suite à insulter les deux militants. Prévenue par la RATP, les forces de police sont parvenu à intervenir pour calmer l’incident.

Après l’avoir placé en garde à vue, la police a rapidement identifié ce ressortissant algérien. Car en effet, Mohammed dispose déjà d’un lourd casier judiciaire. De son côté, François n’a pas hésité à déposer une plainte, après avoir reçu un coup de pied mais également des insultes de la part de Mohamed. Selon la victime « .

Un simple coup de poing peut tuer. ».  Il s’agit du moins de ce qu’a relaté le média Valeurs actuelles.

Un ressortissant algérien au lourd casier judiciaire

L’accusé a rejoint le territoire français en 1997, pour être expulsé en 2012. Après sa deuxième arrivée en France, il enchaîne les antécédents judiciaires et construit son lourd casier, pour atteindre les 12 condamnations.

Par ailleurs, ce prévenu aux origines algériennes s’est vu infligé une (OQTF) Obligation de Quitter le Territoire Français; qui l’a visiblement négligée. Un an plus tard, les force de l’ordre l’ont interpellé pour le mettre dans un centre de rétention provisoire.

En revanche et contre toute attente, Mohamed.B a reçu le soutien du juge des détentions et des libertés chargé de son dossier. Ce dernier a exigé sa mise en liberté.

La justice s’oppose à la décision du juge des détentions et des libertés

Après validation de la décision de ce juge, la préfecture a procédé à la libération de Mohamed, en 2017.  Un peu plus tard, la justice s’est finalement opposée à cette décision. Ainsi, il soutient le refus de la préfecture et ordonne une nouvelle fois la rétention de l’Algérien pour vingt-huit jours de plus.

En prenant compte de ses circonstances familiales, les autorités françaises lui ont attribué un titre de séjour, quelques années plus tard. En effet, cette dernière a jugé que Mohamed.B mérite ce motif de part le fait que la majorité de sa famille dispose de la nationalité française.

Tout semble bien marcher pour le destin de cet algérien. C’est le cas, néanmoins, avant de s’impliquer dans cette agression du 31 mai 2022.  La justice française ne va certainement pas faire l’impasse dans cette affaire. Et faire assumer, ainsi, à ce prévenu les lourdes conséquences de son acte.