Porté disparu en février dernier, il a fallu plus de quatre mois aux services judiciaires français pour retrouver les traces de M.G. En effet, ce père de famille avait quitté son domicile la nuit du 6 au 7 février dernier pour ne plus y revenir.
Les services judiciaires de Nice ont passé plus de quatre mois à travailler jours et nuits. Et ce, dans le but de retrouver un petit espoir leur permettant de repêcher quelques nouvelles de ce père de famille de 34 ans. Les éléments de l’enquête ont guidé les forces de l’ordre vers quelques pistes. Celles-ci après que plusieurs analyses aient fait l’objet d’une macabre découverte.
En effet, dans la cave de l’un des bars de Nice, en France, les services judiciaires ont fait la découverte du corps sans âme de M.G, mercredi dernier. Les circonstances de cette découverte ont choqué toutes les équipes chargées de cette affaire, les poussant ainsi à s’interroger sur le degré de cruauté de ce criminel.
La victime a été repérée grâce à un proche de celui-ci qui affirmait que la victime avait comme habitude de fréquenter un bar spécifique. Cependant, le corps du défunt a été retrouvé emprisonné dans un sarcophage de béton récemment coulé.
Crime dans un bar à Nice : arrestation d’un présumé algérien
Le bar, sis au 66 rue de France à Nice appartient à Abdelkrim.K, plus connu sous le nom de « Akim » par ses clients. Cet Algérien de 46 ans a acquis ce bar « L’Atruim », il y’a environ trois ans, après une reconversion professionnelle. Car auparavant, Akim exerçait dans le bâtiment.
Inconnu par les services judiciaires, quelques habitués de ce bar ont confirmé à ceux-ci que cet endroit n’est pas très fréquenté la nuit, dans la mesure où, des personnes non recommandables y sont habituées pour des jeux clandestins.
Après une perquisition des lieux, Les éléments de l’enquête ont mené les forces de l’ordre à arrêter Akim, mais aussi son complice, et ce pour meurtre et modification de scène de crime. Il faut savoir que la cave où a été découvert M.G, noyé dans le béton, a également fait l’objet de plusieurs tâches de sang. Rapporte Le Parisien.
Cependant, placé en garde à vue, le gérant de cet établissement aurait avoué le crime, confirme l’AFP. En revanche, les motifs et circonstances de celui-ci restent inconnus pour l’instant. De son côté, la procureure adjointe de Nice a fait part à la même source que les arrestations sont toujours en cours.
