France : un Algérien détruit une antenne du Département à Guyancourt

France : un Algérien détruit une antenne du Département à Guyancourt

Encore une condamnation contre un ressortissant algérien en France. En effet, le 22 novembre dernier, Noreddine, un jeune Algérien âgé de 18 ans, a été jugé en comparution immédiate par le tribunal de Versailles. Et ce pour son attitude au niveau du conseil départemental des Yvelines.

Les faits remonte au mois de juin dernier. Notamment, au moment où ce jeune Algérien a rendu visite aux locaux de l’antenne Guyancourt. Et ce, au niveau de boulevard des Chênes. Fou de colère, Noreddine perd le contrôle sur son comportement après avoir demandé des renseignements sur son titre de séjour en France.

En colère, un Algérien ravage une antenne du conseil départemental des Yvelines de Guyancourt

Il faut savoir que depuis le 10 avril 2022, cet Algérien n’est plus mineur. En multipliant les procédures, Noreddine n’arrive plus à décrocher son titre de séjour. Encore une fois, en demandant l’étant d’avancement de son dossier, il ne reçoit aucune nouvelle.

En effet, tout en hurlant, ce jeune adulte s’empare d’une vitre de protection et la jette sur un agent d’accueil et en fait de même avec une autre. De plus, il détruit un écran, un ordinateur portable et un autre fixe, mais aussi une fontaine, rapporte actu.fr.

Malgré plusieurs tentatives d’apaisement de la part du responsable de cette antenne, ce jeune Algérien devient incontrôlable. Mais qui se calmera très vite suite à l’arrivée de la police sur les lieux. Placé en garde à vue, Nourdine a bénéficié d’une remise en liberté.

Interdiction de se rapprocher des locaux de Guyancourt

Cependant, un mandat de recherche a été lancé contre lui. Ce dernier a permis son arrestation lors d’un contrôle à La Défense, le 22 novembre dernier. Face au juge, cet Algérien affiche une autre version de lui. Notamment, celle reflétant un jeune homme plutôt gentil et poli, mais tremblant et pleurant.

En réponse aux questions des jurys, il raconte qu’il ne comprend toujours pas ce qui lui est arrivé ce jour-là. « j’ai une phobie sociale, j’étais stressé et malade » s’est-il justifié. Face à cet inconnu de la justice, la procureure de la république a réclamé 5 mois de sursis. De son côté, le tribunal a condamné le jeune Algérien à 8 mois de sursis avec une interdiction de se rapprocher des locaux de Guyancourt, pendant trois mois.