France : Un Algérien condamné malgré ses dénégations

France : Un Algérien condamné malgré ses dénégations

C’est un quarantenaire Algérien, qui a été condamné la semaine dernière par un tribunal français. L’homme de nationalité Algérienne, et malgré qu’il avait nié d’avoir été impliqué dans l’agression à la barre de fer contre un autre homme, a été condamné à la prison par la justice.

C’est une histoire de rixe dans un squat, c’est ainsi que le journal régional le Var-Matin, rapporte cette affaire. Toute en la qualifiant toutefois de violente, le journal a également précisé que cette bagarre aurait éclaté entre un homme de 40 ans, de nationalité algérienne, et un autre, un Polonais, qui a comparu devant le tribunal avec un visage tuméfié.

Aucun ne maitrise la langue française

C’est devant le tribunal correctionnel que comparaissaient les deux protagonistes d’une bagarre qui a éclaté dans un squat à Hyères, pour faire entendre leurs deux versions en ce qui concerne cette affaire dont les faits remontent au 20 décembre dernier, à un moment ou les deux hommes étaient alcoolisés.

« Ce soir-là, on a deux personnes qui étaient alcoolisés, finalement c’est parole contre parole, (…) les deux versions sont à prendre avec des pincettes », déclare l’un des présents à la salle d’audience. Toutefois, l’algérien a été accusé et condamné d’avoir agressé le polonais avec une barre de fer, et de l’avoir laissé le visage ensanglanté jusqu’a ce qu’il soit découvert par les forces de l’ordre.

En plus de l’agression, l’algérien a été également accusé d’avoir dérobé à la victime une montre connectée et un téléphone portable. Face à toutes ces accusations, l’algérien a plaidé son innocence, et il s’est présenté lui-même comme étant une victime.

14 mois de prison ferme

Malgré qu’il eut nié toutes les accusations contre lui, l’homme de 40 ans de nationalité algérienne, qui faisait déjà l’objet d’une procédure d’expulsion, après sa condamnation en octobre 2019 pour violences aggravées par le tribunal correctionnel de Draguignan, avait écopé cette fois-ci de 14 mois de prison ferme avec maintien en détention, l’accusé doit également procéder à l’indemnisation de sa victime