France : quand un Algérien s’évade d’une prison pour la 2e fois

France : quand un Algérien s’évade d’une prison pour la 2e fois

Réussir à s’évader d’une prison est une histoire digne d’un film américain. Et pourtant, de nombreux prisonniers ont réussi à saisir une infime chance pour élaborer un plan. Leur permettant de retrouver un peu plus d’air en dehors des cellules de la prison.

C’est l’histoire de Imed M, un jeune prisonnier aux origines algériennes. Qui a réussi à s’évader de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis à Essonne, pour environ sept semaines.

Quand un Algérien s’évade d’une maison d’arrêt à Essonne

Entre vol et escroqueries, menaces de morts, recel et affaire de drogue, Imed dispose déjà d’un casier judiciaire bien garni. Mais cet Algérien a décidé d’y ajouté une autre ligne à cette large liste. En s’évadant, pour la deuxième fois, de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.

Les faits remontent au 11 juillet dernier, une permission de sortie, entre 8h et 15 h, a été octroyé pour Imed. Et ce afin de récupérer son titre de séjour au niveau de la préfecture de Melun. Une parfaite occasion pour ce prisonnier pour disparaitre et ne plus y revenir pour sept semaines. Cependant, il faut préciser que le procureur de Clichy a remis une interdiction d’incarcérer Imed dans quelques-uns des bâtiments de cette prison. Une décision, qui, visiblement, n’a pas été respectée.

Toutefois, le 28 août dernier, les forces de l’ordre ont réussi retrouver les traces d’Imed. Et ce, près de la gare de Lyon, confirme le média français actu.fr. Par ailleurs, le 31 août dernier, en état de récidive légale, Imed a été condamné, par le tribunal judiciaire d’Évry Courcouronnes. Et ce, pour quatre mois de prison, associées d’un mandat de dépôt.

Un autre Algérien s’évade d’une prison en Suisse

Le 8 août dernier, un autre Algérien a réussi à s’évader d’une autre prison. Il s’agit, cette fois-ci, de celle de Witzwil en Suisse. En effet, ce sans papiers algérien a été arrêté pour infraction à la loi sur les stupéfiants, mais a réussi à y fuir, peu de temps après.

Cette information a été partagée dans un communiqué, rapporté par Radio RTN. Par ailleurs, la police cantonale bernoise a tenu à préciser que cet homme de 41 ans, ne représente aucun danger pour la société suisse.