France : l’expulsion se précise pour un imam algérien à Hautmont

France : l’expulsion se précise pour un imam algérien à Hautmont

Le début de l’actuel mois septembre a été marqué par une nouvelle polémique. Qui a fait beaucoup de bruit à Hautmont, qui se trouve dans la région, Hauts-de-France.  Celle-ci porte sur la décision du maire de cette commune de France, qui a rejeté le mariage d’un imam algérien avec une citoyenne française.

En effet, ce responsable a refusé le mariage de ces deux personnes, qui a été prévu pour le samedi 3 septembre dernier. Cependant, alors que le maire d’Hautmont, en l’occurrence Stéphane Wilmote, refuse de s’exprimer dans ce sujet. Les médias français, ont mené leurs propres enquêtes.

D’après ces médias locaux, cet imam algérien, ex-gérant d’une mosquée salafiste en France, serait sous la surveillance du ministre de l’Intérieur français.

L’expulsion d’un Imam algérien se prononce en France

Une enquête a été lancée pour regarder dans le dossier de l’ex-dirigeant de la mosquée Es-Sunnah. Qui a été fermée suite à des accusations de radicalisation, en 2018. Depuis cette date, cet Algérien s’est retrouvé sous le coup d’une demande d’expulsion du territoire français.

Par ailleurs, la commission d’expulsion du tribunal de Lille s’est prononcé, le mercredi 21 septembre dernier, dans l’affaire de cet imam. En effet, en se basant sur les relations de ce dernier avec des personnes « radicalisées ». Mais aussi, sur des prêches, qui prônait la détestation des juifs exprimés, rapporte la voix du Nord, en sa présence dans la mosquée, objet de fermeture. La commission d’expulsion a rendu un avis favorable à la demande exprimée, précédemment.

Même si la procédure d’expulsion de cet imam vers l’Algérie vient d’être approuvée. Ses avocats tiennent à rassurer les Hautmontois que leur client ne représente aucune menace grave. Le qualifiant ainsi d’un homme de paix qui a toujours combattu le terrorisme, rapporte la même source. Ces mêmes avocats ont fait savoir qu’ils procéderont à toutes sortes de recours. Et ce, pour suspendre la décision de la commission d’expulsion du tribunal de Lille.