France : il insulte des agents de police, un Algérien risque gros

France : il insulte des agents de police, un Algérien risque gros

Le personnel médical, mais aussi les agents de police, font souvent objet de plusieurs critiques et d’insultes de la part des citoyens. C’est le cas partout dans le monde, y compris en France. Voilà de quoi est accusé ce ressortissant algérien résidant sur le territoire français.

En effet, l’an dernier, un Algérien, âgé de 42 ans et résidant en France, a été arrêté suite à une bagarre entre lui et une autre personne. Se trouvant en état d’ivresse, mais aussi blessé suite à cette rixe, des agents de police sont intervenus pour mettre un terme à la situation et transféré ce ressortissant aux urgences de l’hôpital de la région de Cherbourg.

Il insulte les agents de police, un Algérien arrêté à Cherbourg

Arrivé à l’hôpital, dans la salle d’attente, bourré, ce quadragénaire commence à insulter les agents de police et les menacer. « vous avez parlé à un musulman, vous irez en enfer » dit-il, raconte actu.fr.  Il ne s’arrête pas à ce niveau, mais s’en prend également à un aide-soignant qui tente de le calmer pour soigner ses blessures.

Il faut dire que cet Algérien est connu chez la police de la région. En effet, il dispose d’un casier judiciaire bien garni, notamment par des affaires de vols et de dégradation, des dossiers de stupéfiants, mais aussi de violence et de conduite en état d’ivresse.

Suite à ces affaires, cet Algérien de 42 ans est passé par plusieurs tribunaux, à savoir ceux de Paris, Caen, Argentan et Laval.

Le quadragénaire algérien risque une peine mixte

Suite à la bagarre dont il est l’acteur principal et l’acharnement sur les aides-soignants et les agents de police, ce ressortissant algérien a été arrêté et est passé dans une première audience, la semaine dernière. En effet, face au juge, celui-ci s’est défendu en disant qu’il n’était pas bourré.

Par ailleurs, le substitut du procureur a réclamé une peine mixte à la suite à une affaire précédente. Cette peine s’élève à six mois de prison avec trois sursis probatoire de dix-huit mois, ainsi que trois autres mois de sursis. De son côté, le magistrat a demandé de lui infliger une amende de 300 euros pour outrage aux forces de l’ordre et 100 euros pour l’ivresse. Accompagné de l’indemnisation demandée par les agents de police, soit environ 700 euros pour chacun.

Cependant, dans une tentative de défense de son client, l’avocat a plaidé contre une peine de prison ferme assorti d’un accompagnement durant les 18 mois de sursis.