Belkhadem sait que la Constitution en vigueur n’oblige pas le chef de l’État à choisir son Premier ministre du parti majoritaire mais, en même temps, il émet indirectement le souhait de voir une autre personnalité à la tête du nouvel Exécutif.
“Si les Algériens voulaient Ouyahia, pourquoi ils ne lui auraient pas donné la majorité ?” se demande-t-il en invitant, lors du rendez-vous politique hebdomadaire d’El Khabar, le chef de l’État à bien “décrypter les messages des dernières législatives”.