Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi a estimé jeudi à Djemila (Sétif) « que le Festival arabe de Djemila est une pause artistique arabe au service de la créativité et de l’unité nationale ».
Lors de la cérémonie d’ouverture de cette édition qu’accueille la ville antique de Djemila (Cuicul) dans la wilaya de Sétif, M. Mihoubi a indiqué que le festival continuait avec succès son essor, onze ans après sa relance.
Cette 11e édition du Festival arabe de Djemila, qui s’étalera jusqu’au 22 août à Sétif, placée sous le thème « un seul peuple, une seule patrie » verra la participation de 387 artistes de neuf pays arabes et d’artistes algériens connus ou émergents.
Des vedettes de la chanson arabe comme Reda Al Abdellah (Irak), Diana Karazon (Jordanie) ou encore Rouiada Atiya (Syrie) se produiront chaque soir sur la scène du théâtre antique de Djemila en compagnie d’artistes algériens à l’exemple de Houria Aichi, Hakim Salhi, Kader japonais, Naima Ababsa.
Le groupe « sraoui » a ouvert la soirée d’ouverture en interprétant des morceaux du terroir et des chansons de l’artiste disparu Samir staifi, suivi par Kader japonais, la troupe « amzad » de Ghardaïa, Imed Amine, Houria Baba ainsi que Kamel Naili.