M. B.

Il ne se passe pas une journée de championnat sans qu’un président ou dirigeant de club ne verse sa colère sur les institutions qui gèrent le football avec une rare violence». Des accusations gratuites et souvent «diffamatoires», selon la FAF qui rappelle «qu’il existe des canaux légaux pour introduire leur contestation ou autre réclamation outre celles de l’usage à satiété des médias qui ne peut déboucher que sur la création d’un climat de suspicion, de haine et par extension un appel clair à la violence. La FAF appelle les présidents, dirigeants de clubs, entraîneurs, et les joueurs à faire preuve de beaucoup de retenue dans leurs déclarations et user des voies de recours légales et de ne pas succomber à l’invective qui ne fait honneur ni à leurs auteurs ni à la discipline qu’il pratique et ni à leur rang d’éducateurs», a ajouté l’instance suprême du football algérien.