Autrefois, pour des raisons historiques évidentes, de barrière de la langue, etc., le championnat de France était la destination première, naturelle, voire évidente des footballeurs algériens, où qu’ils soient. Qu’ils soient locaux comme Madjer, Assad ou Saïb ou bien fils d’immigrés comme Medjadi, Dahleb ou Kourichi, ils faisaient en général carrière en France.

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