Finalement, les citoyens ayant créché pendant de longues années au sein de ces petits logements n’ayant pu dépasser les 50 mètres-carrés, peuvent enfin respirer et prétendre à un peu plus d’espace. Le directeur général de l’agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL) vient de les libérer de l’exigüité qui les étouffer. Ces derniers peuvent d’ores et déjà souscrire à la formule AADL, dont ils ne pouvaient en bénéficier. Ce feu vert leur permet de pouvoir évoluer dans des logements dignes du nom, et les faire oublier ces ‘’clapiers’’ où ils ont du avoir tant de peines, juste pour organiser la toute petite fête familiale. Cette sage décision, est venue mettre une fin à une injustice bloquant l’accès à cette formule d’habitation, que beaucoup de citoyens comparaient à une forme ‘’ discriminatoire’’. Aujourd’hui, elle n’a pu faire que beaucoup d’heureux, puisque elle a permis à de nombreux citoyens vivant dans des espaces exigus de souscrire à ce programme d’habitat public et de solliciter à un nouveau logement plus spacieux. D’ailleurs, depuis qu’elle a été rendue publique, 7 000 dossiers de recours formulés par des citoyens déjà propriétaires de logements F2, ont été déposés à l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement. La construction du logement de type F2 a été toujours décrié par les citoyens, car, il ne semble point correspondre à la famille algérienne qui l’a toujours rejetée et n’a pu l’occuper que faute de mieux. L’Algérien a ses coutumes et tient à les préserver, et ne peut pas s’en passer. L’exigüité ne lui convient pas et seul, un logement spacieux peut lui satisfaire ses multiples besoins. L’accès a la formule ‘’AADL’’, est venu le satisfaire énormément.
L.Ammar