ESS : La libération de Zi Aoundou sera payée en tranches

ESS : La libération de  Zi Aoundou sera payée en tranches

Un salaire de 5 000 euros Il sera mis à l’essai

Un accord a finalement été trouvé entre les dirigeants sétifiens et leurs homologues de Bitam. Il concerne le paiement des 100 000 euros que coute la lettre de libération de Zi Aoundou, qui a signé un engagement de trois ans au profit de l’ESS. Les Sétifiens s’acquitteront d’une première tranche qui est d’un montant de 40 000 euros et quelques temps aprés des deux dernières tranches. Chacune des tranches étant d’un montant de 30 000 euros.



Un salaire de 5 000 euros

Pour ce qui est de la mensualité que percevra l’attaquant gabonais Zi Aoundou, un accord a été trouvé quand il a signé sin contrat. Le joueur percevra un salaire mensuel de 5 000 euros. Dès que la lettre de libération sera entre les mains des dirigeants sétifiens, ceux-ci entameront toutes les procédures pour qu’Aoundou soit opérationnel. Entre autres formalités il y a son inscription au TMS qui est un passage obligé pour les joueurs étrangers.

Il sera mis à l’essai

Comme cela était convenu, le recrutement de Zi Aoundou ne se fera que si le joueur donne satisfaction lors des essais auxquels il sera soumis. Il est certain que Velud ne tardera pas pour donner son avis, connaissant parfaitement ce joueur qu’il a déjà vu évoluer lors des deux matchs contre Bitam. Si Aoundou est retenu, il s’envolera avec le reste de l’effectif vers la Tunisie. Il aura pour cela, besoin de se faire délivrer un visa.

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Lakhdari reporte son opération

Lakhdari s’est blessé lors du match contre le MCA qui comptait pour la 27e journée. Le diagnostic a très vite été établi, le défenseur sétifien a subi une déviation de la cloison nasale. La réparation passe nécessairement par une opération chirurgicale. Lakhdhari a même pris rendez-vous avec un spécialiste, mais il décidera de reporter l’opération et cela pour pouvoir prendre part au stage qui se déroulera en Tunisie à partir du 20 juin.

Il se rendra au Maroc

Comme ses coéquipiers, Lakhdhari est en vacances. Il a choisi de les passer au Maroc su côté de la côte atlantique. Il prendra le départ vers Casa ce vendredi. Un repos des plus mérités pour l’un des joueurs les plus utilisés la saison passée.

«Il n’est pas question de rater le stage en Tunisie»

Le défenseur central sétifien nous donnera les raisons de sa décision de reporter la date de son opération : «La date du départ en Tunisie où se déroulera le stage de préparation est proche. Si je me fais opérer ces jours-ci, je serai dans l’obligation de rater une bonne partie du stage.»

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Les licences africaines,un vrai casse-tête

L’ESS sera présente sur la scène internationale lors des deux années à venir. En plus de prendre part à la phase de poules de la Coupe de la CAF, les Sétifiens seront en appel pour la prochaine Ligue des champions. Une compétition que le club de Sétif disputera après avoir gagné le titre de champion. Pour s’y préparer, les responsables sétifiens s’activent dès maintenant. Pour commencer, ils doivent remettre la liste des joueurs qui seront qualifiés pour prendre part à cette compétition. Pour le moment, c’est la bouteille à encre en ce qui concerne les noms des joueurs qui prendront part aux joutes africaines.

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Des éléments compléteront la liste

Selon les textes de la CAF, les responsables sétifiens peuvent renforcer cette liste avec sept autres noms. Pour d’éventuels rajouts, ils seront possibles aprés paiement d’une pénalité. L’ESS ayant atteint la phase de poules, les responsables sétifiens ont le droit de qualifier sept éléments qui pourront renforcer le groupe. Ces sept éléments doivent signer des engagements dans les tout prochains jours.

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Quatre mois de suspension pour Geoffrey

L’ex-joueur de l’ESS Siridji Geoffrey vient d’écoper de quatre mois de suspension de la part de la commission de discipline de la FIFA. Cette sanction fait suite à la plainte déposée par la direction du Zamalek. Le joueur, après son départ de Sétif, a signé deux contrats. Le premier le fut au profit du club égyptien. Le joueur ivoirien s’engagera un peu plus tard avec le club suisse de Sion. Geoffrey reste qualifié au Zamalek.

Derrag et Bezzaz,c’est presque fait

Hier, en fin d’après-midi, Hammar a eu l’accord de principe de deux joueurs qui pourraient défendre les couleurs de l’ESS dès le début de la prochaine saison. Le premier responsable sétifien s’est entretenu tour à tour avec Derrag et Bezzaz. Ces derniers doivent se rendre à Sétif dans les prochains jours pour régler des détails en suspens.

Ce sont les 602 millions qui posent problème

La direction de l’ESS a été informée par la Commission des litiges qu’elle doit régulariser les arriérés de deux de ses anciens joueurs. La somme à payer est de 602 millions de centimes. Cela doit se faire avant le 1er juillet, sous peine de se voir interdire tout recrutement. Benhamou, l’ancien gardien de but, percevra la somme de 550 millions. Par ailleurs, Sammer, l’actuel sociétaire de la JSMB, empochera 52 millions de centimes. L’ESS est dans la même situation que 24 autres clubs de L1 et L2.

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Des examens médicaux pour Demou et Touahri

Demou et Touahri, les deux nouvelles recrues sétifiennes, sont attendus à Sétif pour effectuer divers examens médicaux. Cette formalité est indispensable pour compléter leurs dossiers avant leur envoi à la commission de qualification.

Un restaurant et une salle de récupération au stade

du 8-Mai

Suite à une décision du wali, le stade du 8-Mai sera doté très bientôt d’un restaurant et d’une salle de récupération. Cette dernière sera entièrement équipée. Un bureau d’étude doit d’ailleurs se rendre sur les lieux et cela en guise de première démarche pour que soit mené à bien ce projet. Ces deux réalisations seront entièrement prises en charge par le fonds de wilaya.

C’est presque fait pour Boukria

Le défenseur latéral du CRB est attendu dans les deux jours qui viennent pour signer son contrat. Comme nous l’avions annoncé, le joueur s’est entendu sur tous les points avec les dirigeants de l’ESS. Une fois son contrat paraphé, il passera des examens médicaux.

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Rien de nouveau pour Dagoulou

Le joueur du MCO Dagoulou était mercredi passé à Sétif. Il a très vite trouvé un terrain d’entente avec les dirigeants de l’ESS et cela sur tous les points. Il ne reste au joueur qu’à se faire délivrer sa lettre de libération et ceci est loin d’être une mince affaire. Lors d’un dernier entretien téléphonique, il a informé un dirigeant sétifien qu’il avait porté son affaire devant la commission des litiges de la FIFA.

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Des contacts avec Karl Marx

L’international tchadien, qui porte le nom du célèbre philosophe allemand fervent adepte de la lutte des classes, pourrait déposer ses valises du coté de Sétif. Karl Marx devait rejoindre l’Espérance Sportive de Tunis, en provenance du club marocain le Difaa Hassani El Jadida. Il s’est finalement rétracté après que les dirigeants tunisiens, selon lui, ne l’avaient pas estimé à sa juste valeur. Selon les premiers éléments, le joueur sera à Sétif dans les tout prochains jours. Âgé de 25 ans, Karl Marx Barthelemy de son vrai nom a remporté le titre de meilleur buteur du championnat marocain avec 17 buts. Cela fait plus de douze que ce total n’a pas été atteint en championnat du Maroc.

Une première depuis 12 ans

C’est la première fois depuis 12 ans qu’un entraîneur a terminé la saison à l’ESS. Le fait est assez rare pour être signalé. Mieux, Hubert Velud a renouvelé son bail et il continuera l’aventure avec le champion d’Algérie. «C’est quelqu’un d’intelligent qui a toujours été intéressé par le côté tactique. Son charisme et ses compétences sont pour beaucoup dans la réussite du club», nous dira Hammar à propos de Velud.

Pour un coup d’essai…

Ce fut un coup de maître. Pour sa première expérience en Algérie, Hubert Velud n’a pas forcément choisi la solution de facilité en acceptant de prendre la direction de l’effectif sétifien. Très vite, le technicien français a trouvé la bonne formule pour rapidement permettre à son équipe de réaliser d’excellents résultats. Par ailleurs, Velud ne parle pas forcément beaucoup, mais il est souvent dans le vrai. Ce qui, de nos jours, est un réel atout.