Ennahar a traité dans plusieurs articles durant l’année 2010, les différents problèmes dans lesquelles se débat la télévision et les erreurs professionnelles commises par certains responsables. Des scandales qui ont secoués la bâtisse de l’Avenue des Martyrs, sont étalés dans les pages du quotidien qui devient un cauchemar pour les responsables de l’unique.
Les travailleurs de l’unique s’attendaient à des réformes par l’administration de Abdelkader Oulmi en cette année 2010, et à une lutte contre la médiocrité sous toutes ses formes, mais Oulmi est resté ambigu, caché dans l’ombre, contrairement à son prédécesseur, au point où il ne suivait que le journal, rien d’autre ne semble l’intéresser.
Service des informations: depuis le départ de Sadiki, il n’y a plus de stabilité !
A la prise de ses fonctions à la tête du service des informations, en remplacement à son prédécesseur Ibrahim Sadiki, Nadir Boukabes a hérité des conditions lamentables suite aux conflits qui rongent la télévision.
Le cinq septembre 2010, le président Bouteflika reçoit, lors de la séance d’écoute, le ministre de la Communication, Nacer Mehal à qui il donne des instructions pour l’ouverture de la télévision à l’opinion opposée dans les journaux télé. Il y a eu des critiques de certains secteurs et les ministères concernés ont protestés.
Service de production
L’année 2010 a été marquée par la mise à la retraite de Kheira Benrabah, plus connue sous le nom de Madame Leila. Oulmi a désigné à sa place Ramdane Belhadi, mais le service n’a pas pu faire plus que deux modestes émissions « Sabahiates » et « Aziz El Mouchahid ».
