Entrées et sorties du territoire : l’Algérie exige le pass sanitaire

Entrées et sorties du territoire : l’Algérie exige le pass sanitaire

Dans le cadre du dispositif de gestion de la crise sanitaire liée à la pandémie du Coronavirus, les services du premier ministère ont annoncé, ce samedi 25 décembre 2021, plusieurs mesures, dont l’instauration du pass sanitaire.

Dans un communiqué rendu public durant la soirée de ce samedi, le premier ministère a annoncé que le pass vaccinal est désormais exigé pour l’entrée ou la sortie du territoire national et l’accès à certains espaces, lieux et édifices affectés à usage collectif ou accueillant du public.

Ainsi, le gouvernement a décidé d’adopter une « nouvelle démarche, par l’institution d’un pass vaccinal, déjà mis en œuvre pour l’accès aux stades et salles des fêtes, et ce, comme condition d’entrée et de sortie du territoire national ».

En outre, cette mesure concerne également l’accès « à certains espaces, lieux et édifices affectés à usage collectif ou accueillant du public où se déroulent les cérémonies, fêtes et manifestations d’ordre culturel, sportif ou festif », ajoute la même source.

Les 7 espaces concernés par le pass sanitaire

À côté des espaces et lieux de célébration de cérémonies et événements à caractère national et local, des salles, salons et foires d’exposition, des salles des fêtes et des hammams, le pass sanitaire est exigé, dans une première étape, dans 7 espaces. Il s’agit :

  • des stades et lieux de déroulement des manifestations et compétitions sportives,
  • des salles de sport, infrastructures sportives et piscines,
  • des espaces et lieux accueillant les rencontres, séminaires et conférences,
  • des salles de cinéma, théâtres, musées et espaces et lieux de spectacles,
  • des espaces et lieux de célébration de cérémonies et événements à caractère national et local,
  • des salles, salons et foires d’exposition,
  • des salles des fêtes et des hammams.

Par ailleurs, d’autres dispositifs seront également mis en place pour intensifier les opérations de la vaccination des fonctionnaires et certains corps des administrations et institutions publiques.

Cela touchera aussi « d’autres métiers des secteurs des services et du commerce devant être raisonnablement en première ligne en matière de vaccination et qui se trouvent plus exposés ou susceptibles d’être des vecteurs importants de contamination ».