Le chef du cabinet du ministère de l’éducation nationale, Abdelouahab Guelil a révélé, jeudi, que 31 adresses IP ont été récupérées dans le cadre de l’enquête sur les supposées fuites de sujets de l’examen du baccalauréat et une femme a même été placée sous contrôle judiciaire.
Pour le moment, les investigations des services compétents sont toujours en cours sur cette affaire et toutes les hypothèses restent plausibles en attendant les conclusions de cette même enquête, selon le même responsable.
La possibilité que la femme, mise en cause, ait des complices au niveau de l’office national des examens et concours (onec) n’est pas exclue, selon M. Guelil qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale.