Le milieu de terrain international algérien de Valenciennes FC, Foued Kadir, s’est confié au site du club du nord de la France à propos de sa forme physique avant le match d’aujourd’hui contre Saint-Etienne en déplacement : «Ça va super bien, beaucoup mieux que la semaine dernière. Je récupère mieux, que ce soit après les matchs ou après les entraînements. J’ai retrouvé mon niveau physique.»
«J’espère bien finir la saison »
Evoquant sa blessure, Foued Kadir, qui a été un petit peu freiné par cette blessure à la cuisse qui l’a privé de la dernière confrontation internationale avec la sélection algérienne face au Maroc, souhaite reprendre au plus vite avec l’équipe première pour contribuer à l’objectif du club qui lutte pour sa survie en Ligue 1 : «Le plus dur, ça a été de me blesser à nouveau quand je suis revenu après de longs mois d’absence. Mais j’ai bien bossé, je touche du bois en espérant finir la saison au mieux.»
«J’ai envie d’apporter quelque chose à mes coéquipiers»
Poursuivant son entretien accordé au site officiel du club valenciennois, Foued Kadir, qui espère donc être du rendez-vous avec son équipe lors des derniers matchs décisifs pour le maintien du VAFC cette saison, n’a pas caché son désir de retrouver une place dans l’échiquier du coach : «Je n’ai qu’une envie, c’est de jouer, jouer et encore jouer ! Je veux retrouver les pelouses de Ligue 1 et, surtout, aider le groupe. Sur le côté, on se sent un peu inutile. J’ai envie d’apporter quelque chose à mes coéquipiers.»
«Il ne faut rien lâcher jusqu’au bout»
Montrant un état d’esprit sans faille, Kadir, qui a longtemps espéré rejouer après cette blessure contractée face à Marseille en début de saison, montre la voie à ses camarades en affirmant qu’ils doivent croire jusqu’au bout en leurs chances de maintien : «Il faut se mettre dans la tête qu’un match n’est pas terminé avant le coup de sifflet final. Après les deux derniers matchs, on avait ‘les boules’. On est dans une situation pas évidente, chaque match est important. Il ne faut rien lâcher jusqu’au bout.»
