On l’a vu, quand Sofiane Feghouli a quitté samedi passé la pelouse après avoir reçu un carton rouge.
Il traînait un peu la patte, il avait du mal à marcher. Finalement, l’international algérien souffre d’une blessure au pied, plus exactement au coup du pied. C’est ce qui a été rapporté hier par Superdeporte, le journal proche du club de Valence. L’ailier droit valencien a, malgré ça, repris normalement les entraînements dimanche, mais il s’est exercé en ayant le pied enroulé dans un bandage. Il s’était tordu de douleur samedi, mais tout est allé pour le mieux par la suite pour lui. D’ailleurs, il est dans le groupe retenu pour le match de ce soir en C1 face à Lille. La presse ibérique annonce sa titularisation, et ce, malgré ce bobo au pied, mais il doit faire très attention pour éviter que sa blessure ne s’aggrave. S. M. A.
Le Figaro parle de lui
A la veille du match de Valence face à Lille, le quotidien français Le Figaro a consacré un article à l’équipe espagnole. Le journal français est revenu sur les difficultés que trouve le club de Feghouli à se frayer un chemin entre les deux pôles de la Liga. En plus de ça, Les journalistes du Figaro ont évoqué les difficultés financières qui ont poussé le club à vendre ses meilleurs éléments ces dernières saisons, un fait qui n’a pas vraiment déstabilisé l’équipe qui a su trouver les remplaçants qu’il faut. Parmi eux, Feghouli, le «nouveau taulier» tel que Le Figaro l’a décrit : «Parti libre de Grenoble en 2010, Sofiane Feghouli est devenu un rouage essentiel du dispositif offensif du FC Valence depuis la saison dernière. Parti s’aguerrir à Almeria, l’international algérien a déjoué tous les pronostics pessimistes qui le voyaient se brûler les ailes. Auteur de trois buts depuis le début de saison, «So’» progresse de match en match, épaulé par Roberto Soldado, Jonas et le prometteur Jonathan Viera», avant que nos confrères français n’évoquent ce qui manque au joueur pour occuper une fois pour toutes les cœurs des fans : «Titulaire indiscutable, il lui manque encore un brin de régularité dans les «partidazos» (chocs) pour remplacer dans le cœur de l’exigeant public valencien les Juan Mata, David Silva et David Villa. Malgré les dettes, les départs de ses meilleurs joueurs, il est le meilleur exemple qui prouve que le FC Valence parvient toujours à renaître de ses cendres», ont-ils conclu leur article. S. M. A.
