Lui qui a annoncé cette «mauvaise nouvelle», il y a un peu plus de deux mois, aura, au moins, un quart de finale à jouer face à une grosse pointure. Pourquoi pas une demi-finale ou une finale ? Pourquoi pas sortir par la plus grande des portes, en ayant gagné la première CAN algérienne en dehors de nos bases ? En tous les cas, et au vu de ce que le capitaine Magic a démontré hier tout au long des 93 minutes, conjugué au rôle très déterminant qu’il a joué pour désamorcer la bombe provoquée par certains écrits de presse concernant « la révolte du banc », on a envie de lui dire : reste encore un peu, cette équipe a encore besoin de toi, l’Algérie n’est pas prête à faire sans toi.

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