Dans cet entretien, l’ancien international algérien, Hameur Bouazza, affirme qu’il ne signera finalement pas à l’Iraklis. Il ajoute que sa seule préoccupation à l’heure actuelle est de revenir sur les terrains et retrouver son niveau. Son avenir ? Il dit vouloir attendre jusqu’à la clôture du mercato et voir après.
Qu’en est-il de votre transfert à l’Iraklis Salonique. Y a-t-il du nouveau ?
Le nouveau est que je ne rejoindrai pas cette équipe. Pour l’instant, ma seule préoccupation est de revenir à l’entraînement et rejouer de nouveau. La page Iraklis est à présent tournée.
Vous êtes toujours à la clinique de Saint-Raphaël ?

Oui, j’y suis toujours. Je poursuis ma rééducation en attendant de réintégrer mon club prochainement.
Quand prendra fin cette période de rééducation ?
En principe, ce lundi, ce sera le dernier jour. Le lendemain matin, je retournerai à Arles pour voir si j’entamerai l’entraînement avec le reste du groupe.
On dit que vous n’étiez pas trop emballé pour jouer en Grèce. Est-ce la raison pour laquelle vous avez refusé l’offre de l’Iraklis ?
Non, ce n’est pas forcément cela. J’aurais bien aimé aller chez de gros clubs là-bas, tels l’AEK Athènes, le Panathinaikos ou bien l’Olympiakos du Pirée. Le challenge aurait sûrement été plus intéressant et stimulant pour moi. En Grèce, il y a un bon niveau aussi.
Qu’en est-il des informations rapportées par la presse grecque, affirmant que les responsables de l’Iraklis ont demandé à voir d’abord votre dossier médical par rapport notamment à votre dernière blessure et que vous, vous n’aviez pas voulu ?
Non, ce n’est pas vrai. Ecoutez, même avec ma blessure, les responsables de l’Iraklis étaient prêts à me recruter. Le problème n’est pas là. Le transfert ne s’est pas fait, voilà tout. Maintenant, je pense à autre chose, ce n’est pas grave.
Avez-vous d’autres contacts ?
Pour l’instant, non, il n’y a rien. On va attendre.
Tout porte à croire donc que vous allez continuer la saison avec Arles-Avignon ?
Le mercato n’est pas encore fini. Là, maintenant, je suis avec Arles mais d’ici au 31 janvier, beaucoup de choses peuvent se passer. On verra.