EN : 90’ de Halliche face au FC Porto

EN : 90’ de Halliche face au FC Porto

La formation de l’Académica Coimbra a réalisé un énorme exploit avant-hier soir, en parvenant à battre à domicile, le leader du championnat, le FC Porto (1-0), à l’occasion de la 11e journée de Liga Portugaise, 43 ans plus tard. Une victoire inespérée acquise dans la difficulté par le club de Coimbra, qui a quand même réussi à faire tomber le champion en titre pour la première fois cette saison. Rafik Halliche, auteur d’un bon match lundi dernier face à Olhanense, a été reconduit en tant que titulaire lors de cette partie.

Il provoque un penalty qui a failli coûter la victoire à son équipe

Le match presque sans faute de Rafik Halliche a failli être gâché par l’arbitre qui a sifflé un penalty en faveur du club du Dragon à la 85’, à la suite d’une faute pas du tout évidente commise par le défenseur algérien. Fort heureusement pour lui, le gardien de l’Académica a stoppé le tir de Danilo, permettant donc à son team d’arracher trois précieux points. Halliche a une nouvelle fois disputé l’intégralité du match, sans ressentir le moindre pépin physique.

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Belhadj : «Je n’ai aucun problème avec Halilhodzic»

Le latéral gauche, Nadir Belhadj, a de nouveau exprimé son désir de revenir en sélection nationale et prendre part au prochain Mondial. En effet, dans des déclarations faites à un site spécialisé qatari, tout de suite après le match de championnat face à Meider, l’ancien sociétaire de Portsmouth a dit : «L’Algérie, c’est mon pays et je suis prêt à revenir en sélection pour défendre de nouveau ses couleurs. Ce n’est un secret pour personne, puisque je l’ai déjà déclaré il y a quelques semaines de cela. Je compte travailler très dur avec mon club pour attirer ainsi l’attention du sélectionneur national. Je ferai de mon mieux sur le terrain et le dernier mot lui reviendra, bien entendu.» Et d’ajouter : «Une nouvelle fois, je tiens à dire que je n’ai aucun problème avec Halilhodzic. On se respecte mutuellement et c’est à lui de décider, puisque c’est lui le patron.»