Fidèles à ses traditions de solidarité et en hommage au sacrifice des martyrs du devoir national, les membres de la Radieuse, à leur tête le président de l’association, Chafi Kada, en collaboration avec la société civile et le mouvement associatif national et accompagné par le président de la fondation de la glorieuse équipe du FLN, Saïd Amara, et de Hansal Mohamed, ont rendu une visite de soutien moral et de solidarité aux familles des victimes de l’odieux attentat de Aïn Defla.
C’est ainsi que les communes de Temacine (Ouargla), Djamaâ ( El-Oued), Aïn Naga (Biskra), Tazghrit (Khenchela), Aïn-M’lila (Oum El-Bouaghi), Aïn Beïda (Mila), Rebbahia et Aïn Skhouna (Saïda), Benekrit (Relizane), ont reçu la visite de la délégation de la Radieuse, dans une ambiance pleine d’émotion et de solidarité des citoyens de ces communes. Des diplômes d’honneur et des trophées du mérite et des médailles ont été remis par la radieuse aux familles concernées ainsi que des promesses de visite des Lieux Saints, par le mouvement associatif ayant une relation d’entraide avec la Radieuse. Les familles Mansour, Boulifa, Houissa, Maâlem, Rekaïzi, Selbah, Mehnane, Mokaddem, Kacemia et Selmani, ont été très touchées par le soutien de l’État algérien, ainsi que la grande solidarité des citoyens algériens, que ce soit à travers leurs visites ou leurs nombreux messages, notamment via les réseaux sociaux.
M. Boulifa, père de Hocine (El-Oued), une des victimes, a exprimé ses remerciements à l’association Radieuse dont la visite de soutien, dit-il, “nous met un peu de baume au cœur. Il y a aussi des gens qui sont venus d’un peu partout, partager notre douleur. Nous remercions les hautes autorités de l’État pour leur grand soutien. Ces gestes prouvent la solidarité de toute une nation qui fait barrage au terrorisme abject”. Même ressenti chez M. Rezagui, père de Seïf (Aïn M’lila). “Notre peine, confie-t-il, est grande quand on perd un enfant. Mais quand votre fils meurt pour l’Algérie, nous en sommes fiers. Nous remercions l’État algérien pour sa grande solidarité, la population qui nous a soutenus moralement et le geste de la Radieuse qui nous est allé droit au cœur.” M. Kacemia, père de Bachir (Aïn Skhouna), pour sa part, fataliste et stoïque, déclare que “Notre fils est mort parce que c’était notre destin. Il aurait pu partir d’une autre façon. Mais le fait qu’il soit mort pour l’Algérie nous fait honneur”.