A.Ouélaa

Comme l’exemple des 100 logements de Aïn Kerma dont le lancement remonte au quinquennat 2005/2009. L’OPGI, qui est en charge d’un vaste programme de logements qui dépasse les 15 000 unités que se partagent des entreprises étrangères et nationales, vient de montrer toutes ses tares, lacunes et malfaçons depuis l’attribution des nouveaux logements à leurs bénéficiaires. Ces derniers ont fait état de carrelages posé à même le sol, travaux inachevés ici et là, problèmes électriques et autres aléas liés à l’approvisionnement en eau pour certains d’entre eux. Des bénéficiaires, selon des rumeurs, seraient même allés faire du chantage à certaines entreprises leur exigeant de leur donner de l’argent afin de parfaire ou achever quelques travaux. Etat de fait pour le moins déplorable, si chacun à quelque niveau que ce soit avait fait correctement son travail, on n’en serait pas arrivé là diront les uns et les autres. Pour de plus amples informations sur la chose, nous n’avions pu joindre le directeur de l’OPGI.