El Hachemi Djiar «Le terrain du 5-Juillet sera retapé»

El Hachemi Djiar «Le terrain du 5-Juillet sera retapé»
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Le terrain du 5-Juillet, de loin un tapis, mais de près un vrai champ de patates

La formation constitue le pivot central de la politique du département d’El Hachemi Djiar qui a expliqué que «l’Algérie a mis le paquet dans le secteur».

«Le terrain du stade du 5-Juillet, qui a connu des dégradations vu que ce dernier connaît des entraînements en permanence, sera retapé de nouveau dans le plus proche avenir», a affirmé le ministre de la Jeunesse et des Sports expliquant que «cette perspective sera concrétisée à la faveur de la réception des complexes sportifs de Baraki, Douéra et celui de Tizi Ouzou». Voilà une information qui peut intéresser grandement les praticiens du football, en particulier les responsables et les joueurs de l’Equipe nationale qui ne cessent de déplorer l’état du gazon. En visite de travail et d’inspection, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Hachemi Djiar, a mis en valeur la stratégie entérinée et mise en œuvre par son département dans le domaine du développement du secteur de la jeunesse et des sports, la finalité étant, selon le ministre, de pousser de l’avant le secteur, et ce, dans toutes ses dimensions. «Nous devons passer vers un saut qualitatif pour que l’Algérie puisse reprendre de nouveau sa place dans la scène sportive internationale», a-t-il préconisé tout en expliquant que «cette perspective est envisageable à la faveur de la formation et l’exploitation rationnelle des infrastructures sportives existantes». La formation constitue l’un des pivots centraux de la politique du département de Hachemi Djiar. Ce dernier a, à partir d’Oran, expliqué que «l’Algérie a mis le paquet dans le secteur». Auparavant, le ministre a eu à affronter plusieurs jeunes sportifs de la localité de Hassi Mefsoukh. Ces derniers, se sentant lésés et marginalisés, excédés, se sont plaints directement au ministre et au wali d’Oran sans passer par leurs responsables, les élus locaux. «Nous sommes méprisés Monsieur le ministre, notre stade, qui a été construit en 1954, est à ce jour dépourvu de gradins tandis que la moindre averse provoque des dégâts importants», a lancé un membre d’une association sportive locale expliquant que la commune Hassi Mefsoukh a pourtant « vu naître et grandir le célèbre joueur Hanister». Ce n’est pas un fait du hasard si les jeunes sportifs de la commune se sont plaints directement au ministre et le wali d’Oran. En fin diplomate, Hachemi Djiar, ne s’est pas gêné de rencontrer les citoyens de la Hassi Mefsoukh et ce en improvisant un bref débat face à face avec les citoyens, focalisé autour de l’avenir du sport dans ladite commune. Tout en s’engageant à prendre en considération leurs doléances, le ministre a assuré qu’il se portait garant des revendications des habitants locaux. Pour preuve, il a exhibé la carte de la pose de la première pierre du chantier de la maison de jeunes de cette commune. «D’autres chantiers suivront », s’est-il engagé. «Nous avons été marginalisés pendant assez longtemps», s’est plaint un membre d’une association locale expliquant que «l’instabilité de l’exécutif communal et les conflits qui opposent les membres de l’APC se répercutent négativement sur la vie quotidienne des citoyens». A Arzew, deuxième ville de la wilaya, le ministre, tout en s’engageant quant à la réalisation d’une salle omnisports et une base nautique, et dans le cadre de la loi des finances de 2013, s’est enquis de l’état d’avancement des travaux de la réalisation de la piscine olympique.