Par Hadj Mostefaoui

Plus d’une fois, poursuivent nos interlocuteurs, ils ont interpellé le responsable de cet organisme pour lui rappeler ses engagements mais peine perdue. Ne sachant plus où donner de la tête et après avoir épuisé toutes les voies de recours au niveau local, ils tentent une ultime démarche pour attirer l’attention des pouvoirs publics sur l’état de délabrement dans lequel se trouvent leurs habitations réceptionnées le mois de juin dernier. Ces 120 habitants de cette nouvelle cité ne décolèrent pas et envisagent même le recours au ministère de tutelle pour mettre fin à leur calvaire qui, disent-ils, ne fait que commencer. Plus de 40 locataires ont dû même abandonner leurs habitations en raison des risques d’effondrement des murs de séparation et des cloisons, soutiennent les concernés. Nous avons tenté de prendre attache avec les responsables de l’office pour des explications sur le sujet, mais en vain.