Les responsables de la Banque de l’Investissement du Maghreb et du commerce, ont dissimulé une perte, estimée à 13,6 millions de dollars engagés par la banque, en raison de l’encours des prêts non remboursés concernant les droits des banques privées en cours de liquidation, entre autre, la Banque El Khalifa et la Banque industrielle et commerciale , détenue par Ahmed Karroubi, et des hommes d’affaires d’Oran, et «Younine Bank » appartenant à l’homme d’affaires Ibrahim Hadjas.
La Banque de l’Investissement du Maghreb et du commerce, est une banque algérienne en Libye, elle a été créé en l’an 1988, avec un capital commun entre la banque extérieure libyenne évalué à 50% du capital estimé à 100 millions de dollars, et les banques publiques algériennes telles que le CPA , la Banque de l’agriculture et du développement rural , la Banque nationale d’Algérie, et la Banque extérieure d’Algérie, d’un capital de 50 millions de dollars.
Les documents en possession du quotidien Echourouk, révèlent que la banque a perdu 13,63 millions de dollars au cours des opérations avec les trois banques privées, en liquidation, une opération qui représente 183 700 Euros avec la «Banque Younine » en liquidation, et15,6 millions de dollars avec la Banque industrielle et commerciale algérienne représentée avec 297 900 et 1,73 million de dollars yen japonais, et 11,4 millions d’euros, contre 1,8 million de dollars avec la Banque Khalifa en liquidation, repartie sur 219 000 dollars et2,2 millions de yens et 1,15 millions Euros.
Les documents en possession du quotidien Echourouk, révèlent que la direction de la banque a été en mesure de cacher les pertes subies par la banque, et de cacher les opérations de gestions désastreuses de la banque et le transfert illicite de fonds vers les banques étrangères et Françaises en particulier, l’utilisation le papier cadeaux et le financements des voyages de la finance vers l’étranger, l’achat du silence des banques publiques algériennes contribution et la contribution de ses responsables directes. A savoir le directeur général de la banque, de nationalité libyenne, et son vice-président de nationalité algérienne.