Dans une précision adressée à la rédaction, la direction générale du CHU Mustapha affirme que les pluies “n’ont, en aucun cas, fait l’objet d’un arrêt du service des urgences” et qu’il y a eu méprise sur le site. Dans l’article publié par le Radar de Liberté, il n’a jamais été question de l’arrêt de l’activité du pavillon des urgences, mais de son immersion sous les eaux de pluie, comme l’ont signalé des praticiens qui exercent dans le centre hospitalo-universitaire.

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