L’échec scolaire se définit par l’incapacité de l’élève à apprendre ou encore par la difficulté à apprendre pour palier à ce fléau, il faut 3 conditions qui sont la base de l’instruction et la réussite scolaire qui sont : lire, écrire et compter, or, il s’avère que la maitrise de ces conditions est loin d’être établit sur le terrain. Le premier exemple est une condition qui donne pour obligation que la scolarité est obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans. L’occasion de voir sur un documentaire que des enfants en deçà de cet âge ont quitté l’école et sont devenus des petits commerçants, où réside le problème alors ? Tout simplement qu’il n’y a pas au sein de l’école une cellule de veille qui permet de déceler les difficultés scolaires et réagir au plus vite, c’est comme si, avoir une difficulté scolaire est une fatalité et qu’il n’y rien à faire. Un simple retard d’un élève peut devenir un début d’échec scolaire, puisque ce dernier est mis à la porte en cas de retard, au lieu de le faire rentrer et de créer une classe des retardataires. L’hygiène scolaire également peut être une cause. Si l’élève a un problème psychologique ou bien auditif ou visuel non encore détecté, il sera donc aussi dans l’incapacité de suivre les cours convenablement, les problèmes d’environnement comme le transport si l’élève habite loin de son école il va arriver épuiser donc son énergie sera insuffisante pour suivre à bien ses cours, la séparation des parents peut être une cause aussi, elle aura pour conséquence la perte des repère chez l’élève puisque il n’est plus contrôlé par les 2 parents mais par un seul, il est impératif de créer des éducateurs dans chaque école qui auront pour tâche de faire des soutiens scolaires au moindre négatif et ce, depuis le début de l’année.
Sous l’égide de la ligue des quartiers de la daïra de Mostaganem et son président monsieur Gaarar Larbi s’est tenu une conférence sur l’échec scolaire en Algérie en présence de plusieurs cadres de ce secteur dont le directeur de l’éducation de la wilaya, Monsieur Benchohra Larbi.
Belayachi Naboussi