A l’occasion de la Journée mondiale de la femme, le général-major, directeur général de la Sûreté nationale, M. Abdelghani Hamel, a présidé, hier, une cérémonie en l’honneur des journalistes femmes à l’Ecole supérieure de police Ali-Tounsi.
Le personnel féminin du corps de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) et celui des journalistes femmes de la presse écrite et audiovisuelle ont été honorés.
Cette cérémonie, organisée pour la deuxième fois consécutive par la DGSN, est une manière de reconnaissance pour le dévouement dans le travail qu’elles effectuent sur le terrain et coïncidant avec le 8 mars. Il leur a remis des cadeaux symboliques.
Cette cérémonie a été marquée par la projection d’un documentaire-défis de la femme policière sur le parcours de la femme algérienne pendant la guerre de libération et son apport dans l’édification après l’indépendance.
Une visite du musée pour voir les expositions de photos sur les chahidate de la guerre de libération et moudjahidate ayant pris les armes, a également été organisée. Dans une allocution, le général-major Hamel a adressé un message aux fonctionnaires femmes de la police lu par le commissaire divisionnaire, Kheira Messaoudène, dans lequel il a exprimé ses sincères félicitations à la femme algérienne en général et la femme policière en particulier.
Il a souligné que la femme algérienne a su s’imposer dans le corps de la police tout en saluant le rôle prépondérant de la femme dans les rangs de la police algérienne.
En outre, il a été indiqué que le nombre de la femme policière a atteint actuellement plus de 14 000 éléments, entre cadres, gradées, agents de police et autres auxiliaires. Il a aussi estimé que cette «avancée notable», réalisée par la femme policière en Algérie dans l’accomplissement de ses missions, de proximité notamment, en a fait «un modèle de référence dans les pays arabes».
