Des vacances à 900.000 DA : la facture salée d’une famille au complexe Zina Beach de Mostaganem

Des vacances à 900.000 DA : la facture salée d’une famille au complexe Zina Beach de Mostaganem

Une famille a récemment publié les détails de son expérience au sein du prestigieux complexe hôtelier Zina Beach, suscitant l’indignation parmi les internautes.

Les détails de cette facture extravagante ont été partagés sur les réseaux sociaux, déclenchant une vague de réactions de la part des internautes. Nombreux sont ceux qui ont exprimé leur stupeur face à ce tarif jugé excessif, voire abusif. Les discussions en ligne ont été animées par des commentaires indignés, dénonçant le complexe Zina Beach comme « le complexe touristique le plus cher au monde ».

Les prix du complexe touristique Zina Beach font polémique

La facture ahurissante présentée à une famille composée de 3 personnes par le complexe Zina Beach, situé à Mostaganem, a enflammé les réseaux sociaux.

En effet, pour un séjour de dix jours, du 06 au 16 août 2023, pour deux adultes et un enfant, la facture s’est élevée à la somme astronomique de 897 857 DA.

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L’Association pour la Protection des Consommateurs en Algérie (APOCE) a réagi à l’affaire et s’est étonnée de ces pratiques tarifaires sur sa page Facebook Himayatec.

Suite à la publication de la facture, des appels au boycott du complexe Zina Beach ont été lancés sur les réseaux sociaux. Les internautes ont appelé à une prise de conscience collective quant à la nécessité de surveiller de près les pratiques tarifaires des établissements de loisir et de vacances. Cette situation soulève de nombreuses questions sur la transparence des prix dans l’industrie touristique.

Des profits astronomiques, le commerce florissant des courtiers auto en Algérie

La spéculation continue de faire des dégats dans le secteur des véhicules d’occasion. Aucune limite de bénéficies n’a été fixée à ce jour pour la vente de voitures de seconde main, laissant le cartier libre aux courtiers auto pour engranger des profits toujours plus importants.

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Dernièrement, l’APOCE avait signalé le phénomène de revente de véhicules quasi neufs de la marque Fiat à des prix tout à fait incohérents. Certaines voitures étaient tarifiées à 300.000, voire 600.000 DA de plus que le prix affiché chez le concessionnaire.

L’élongation de la liste d’attente chez ces derniers alimente la frustration des consommateurs, qui se retrouvent obligés de se tourner vers le marché de l’occasion à leur dépends.