Des responsables entre emprisonnés, poursuivis, lâchés ou sous contrôle judiciaire

Des responsables entre emprisonnés, poursuivis, lâchés ou sous contrôle judiciaire

Après environ deux années d’efforts, le ministre de l’Énergie et des Mines, Youcef Yousfi, a échoué dans sa mission à cerner la corruption dans le secteur, qui a été engendré par Chakib Khelil, qui a eu la mise sur le secteur pendant plus de 10 ans et géré d’une manière monarchie absolue.

Après trois années depuis l’explosion des scandales sur la gestion du groupe Sonatrach et ses filiales et la mise sous contrôle judiciaire du président directeur général, Mohamed Meziane, l’emprisonnement des vices-présidents du groupe pour les questions liées à la corruption, ainsi, une retraite en or pour le Conseiller du Président Directeur Général de la société Mohammad Reda Haméche, installé en Suisse.

Avant tout cela, la dissolution de la société mixte d’ingénierie « Sonatrach Halliburton ». Le virus des scandales a contaminé les secteurs de l’électricité et des mines.

La nouvelle étape que subie le secteur, est celle de l’électricité et des mines. Après la mise du président directeur général de Sonelgaz, et 15 cadres supérieurs de l’entreprise sous contrôle judiciaire, la fin de la semaine dernière, il a été décide de mettre fin aux fonctions du président directeur général de l’exploitation et de la distribution de l’or et autres métaux précieux, après que des rapports révèlent l’état de la corruption et le chaos avancé que vit l’entreprise, et avant quelques semaines seulement, le ministre du secteur s’est chargé personnellement, à prendre en charge l’un des plus grands cas de corruption de l’ere de Khalil Chakib, relatives à l’or algérien pillé et le transférer à l’étranger en collaboration avec des partenaires australiens qui se sont évaporés, après le pillage qui dépasse 3000 kg de l’or.

Avant de mettre fin aux fonctions du président de l’entreprise « Agenor », le ministre de l’Énergie et des Mines, Youcef Yousfi, s’est précipité à régler l’un des scandales de Chakib Khelil dans le secteur des mines, qui consiste l’entreprise d’exploitation des mines d’or à Tamanrasset, en partenariat avec un partenaire australien (G. A.. Métaux).

Le ministre de l’Énergie et des Mines, a ordonné de racheter toutes les actions de la société qui a vendu 52% de ses actions à la société  »El Qalaa égyptienne », sans avoir à ouvrir une enquête sur les circonstances de l’ouverture du capital de la société Australienne en 2002. Pourquoi s’était- fait dans des circonstances mystérieuses, et quelles sont les parties qui ont bénéficié en Algérie de la procédure? … Tant de questions qui restent sans réponses…!!!????