Des policiers s’en prennent aux journalistes chaque vendredi

Des policiers s’en prennent aux journalistes chaque vendredi

C’est devenu quasi systématique. Chaque vendredi, des journalistes sont pris pour cible par des policiers. C’était d’ailleurs le cas hier, quand une journaliste de Liberté et une consœur du journal électronique Maghreb Emergent ont été empêchées, par des agents de l’ordre en tenue, de filmer une scène à hauteur de la rue Didouche-Mourad.

Les deux journalistes, et après avoir subi un interrogatoire et un contrôle d’identité, ont été sommées de “ne pas filmer les policiers de dos”, surtout lorsqu’ils chargent des manifestants. Ce qui constitue une entrave à un droit pourtant garanti par la Constitution.