Aucun des partis politiques qui se prétend allié au pouvoir n’est stable dans sa perception , du FLN au RND et du Front populaire algérien et de la liberté et de justice, sur la prochaine élection présidentielle, et tout semblait en état d’alerte pour les développements qui se produiront dans un futur proche, en particulier l’état de santé du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, similaire au cas de l’attente pour »révélation » à soutenir le candidat du pouvoir, en contre partie, l’activisme sérieux et efficace du mouvement islamiste, à la recherche d’un candidat de consensus qui le représentera aux prochaines élections présidentielles de 2014.
Le chargé de communication du FLN, Kaci Aissa, a souligné dans une communication téléphonique au quotidien Echorouk que que tout ce qui a été dit, à propos des élections de 2014 au nom du FLN, n’engagent que ceux qui les ont déclaré, ajoutant que la question des alliances n’est pas d’actualités pour l’instant.Et d’enchaîner en ajoutant que «les élections présidentielle et les alliances, sont du ressort du Comité central « .
Pour sa part, le secrétaire général du Mouvement populaire algérien, Amara Ben Younès,a déclaré au quotidien Echorouk, que la position du mouvement est claire et plus claire entre les formations politiques, celle du soutien absolu à Abdelaziz Bouteflika, s’il décide de se présenter pour un quatrième mandat.
Et si, ça ne sera pas le cas, il sera exposé aux institutions du mouvement. Amara Ben Younès a souligné que c’est impossible que le vainqueur de l’élection présidentielle en 2014 représentera un seul parti, et d’ajouter que nous sommes maintenant 5 partis du gouvernement représentant le courant national et démocratique, nous sommes prêts à fournir l’initiative et soutenir le candidat qui nous représentera, le fait que la majorité de ces partis sont en faveur de cette option.