Des organisations estudiantines ont appelé jeudi à Alger les étudiants et tous les jeunes algériens à se rendre massivement le 17 avril aux urnes pour accomplir leur devoir et élire celui qui est le plus indiqué à la présidence de la République.
Lors d’une rencontre organisée à l’université d’Alger 2 à Bouzaréah, le secrétaire général de l’Organisation nationale de solidarité estudiantine Naoufel Kachoud a appelé tous les étudiants et les jeunes algériens à ne pas boycotter l’élection présidentielle, « pour prouver leur amour pour la patrie », soulignant que le vote « est le meilleur moyen pour faire taire ceux qui veulent semer la discorde au sein de la société ».
M. Kachoud a souligné la nécessité de voter afin de garantir la sécurité et la stabilité de l’Algérie et faire face à ceux qui veulent déstabiliser le pays de l’intérieur tout en saluant les jeunes compétences algériennes qui sont capables de poursuivre le processus du développement national global.
Il a également rappelé que l’Organisation nationale de solidarité estudiantine soutient le programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et sa candidature pour un quatrième mandat.
L’Organisation nationale des jeunes étudiants démocrates a appelé les jeunes à se rendre massivement aux urnes pour choisir « celui qui est le plus indiqué et le plus apte à réaliser leurs attentes et leurs aspirations ».
Invité au forum du quotidien « DK News », le président de l’Organisation, Othmane Bey Lakhdar a indiqué que « les Algériens, particulièrement les jeunes, doivent se rendre aux urnes en avril pour choisir le plus apte à concrétiser leurs aspirations », soulignant que la présidentielle est « l’occasion de faire échec aux complots ourdis contre l’Algérie ».
Tout le peuple algérien « doit faire obstacle aux opportunistes qui profitent de la situation du pays pour servir leurs propres intérêts », tout en les appelant « à la retenue ».
Il a appelé à « l’implication des jeunes » dans la prise de décisions décisives pour le pays, indiquant que « les jeunes, qui ont libéré le pays du joug du colonialisme et ont contribué à son édification après l’indépendance, sont capables aujourd’hui d’assumer leurs responsabilités ».
