Faisant fi des déclarations des responsables algériens sur le refus d’autoriser l’installation en Algérie de marques d’automobiles mineures, les constructeurs chinois annoncent leur détermination de ne pas rester en marge de la vague d’assemblage de véhicules, que connaît ces dernières années l’industrie mécanique nationale. Ainsi, plusieurs projets industriels, notamment dans le domaine de l’automobile ont été déposés auprès du ministère de l’Industrie et des Mines. Parmi les marques chinoises, désirant prendre pied en Algérie, il est cité Dfsk, Schacman et KIV. Depuis l’ouverture du marché automobile, plus d’une vingtaine de marques chinoises sont proposées aux Algériens.

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