De sources fiables ont révélé qu’une importante quantité de caméras de surveillance, high-tech sont sur les marchés algériens, en provenance de l’état Hébreux, via de nombreux pays européens, sans que les appareils des services de sécurité et douanier à travers les aéroports et les ports algériens douanières, puisent les détecter.
Plusieurs sources identiques, ont souligné que ces caméras sont vendues et se vendent sur plusieurs marchés à l’est du pays, par des particuliers qui les ont importés sans attirer l’attention des différents services de contrôle, et ce vu, son petit volume. «Mimocam Zorro», peut être caché n’importe où.
Avec cette petite caméra, des photos peuvent être prise pendant le jour et en utilisant les rayons infrarouges durant la nuit. Selon plusieurs sources, soulignent que ces caméras sont à la portée des citoyens après leurs acquisitions dans de plusieurs marchés parallèles, à El Eulma, Sétif, Constantine, Batna , Annaba, Bejaia et Jijel, et peut être à travers dans d’autres régions du territoire national.
Ces petites cameras ne coûtent que 169 dollars sur le marché américain et 18.000 dinars en monnaie locale. Le marché noir, a vu l’entrée des appareils et des caméras délicates et sensibles en forme de montres à mains, stylos et porte-clés, exploités par des jeunes pour faire chanter un certain nombre d’hommes d’affaires, fonctionnaires, qui ont été photographiés dans leurs intimités avec des filles, et ce, en contre partie d’une somme d’argent.
Les autorités compétentes , ne sont pas arrivées à détecter l’introduction de ces moyens technologiques par son petit volume, et le manque de connaissances de leur fonction initiale, ce qui nécessite, selon les spécialistes de former des agents de sûreté et de douane, comme c’est le cas dans de nombreux pays européens. Ils ont crée des troupes spéciales nommées « nettoyage ».
