Des activistes, des personnalités, des représentants de la société civile, des journalistes, des universitaires et des analystes ont été les signataires d’un document émis lors d’une réunion tenue aujourd’hui à Alger.
Dans une réunion tenue aujourd’hui à Alger, les signataires de ce document « condamnent fermement les actes de violone dont ont été victime des manifestants pacifiques dans plusieurs localités du pays lors du 45e vendredi du Hirak, sous le regard des forces de l’ordre ».
Les signataires ont fait appel à « l’ensemble de le société civile à dénoncer ce genre de pratiques, susceptibles de nuire à l’unité nationale et se montrer solidaires avec les victimes ».
« Nous réitérons notre estime quant au maintien du mouvement populaire pacifique Hirak et sa détermination d’aller de l’avant jusqu’à concrétisation de ses revendications légitimes » lit-on dans le communiqué.
Les signataires réclament, de surcroit des mesures d’apaisement d’urgence dont la libération « inconditionnelle » des détenus d’opinion qui ne doivent pas faire l’objet de « surenchère ou de négociation avec le pouvoir », « l’annulation des charges et poursuites » les concernant ainsi que l’ouverture des champs politique et médiatique public et privé » et la « levée des entraves » à l’exercice des libertés.
