Après le rejet par le juge d’instruction de la demande de sa remise en liberté provisoire, la défense du comédien Kamel Bouakkaz a sollicité hier la direction de la prison d’El-Harrach pour autoriser le détenu à recevoir les membres de sa famille en parloir rapproché. Cette demande, à caractère plutôt social que judiciaire, explique son avocat, Me Debih, a pour objectif de permettre au détenu d’accueillir “librement” dans une salle, et non pas derrière le parloir traditionnel de la prison, notamment ses trois filles scolarisées, l’une au primaire et deux au moyen. L’accès à cette demande est tributaire du comportement du détenu. Sauf surprise, affirme l’avocat, M. Bouakkaz ne devrait pas être privé de ce petit “privilège”
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