Daech vend des esclaves sexuelles dans les marchés

Daech vend des esclaves sexuelles dans les marchés

En vue de discréditer l’Islam, comme il le fait si bien depuis des années, l’Empire « découvre » subitement qu’il existe une armée de 50.000 combattants, sortis du néant, lourdement armés, possédant chars, artillerie, missiles, voitures blindées humvee…

Voulant démontrer que la religion musulmane est la pire qui puisse exister, on va justifier cette réputation par des actes abjects et ignobles tels la décapitation, les exécutions sommaires, le kidnaping de masse de milliers de femmes de moins de 35 ans destinées à assouvir les besoins sexuels de ces mutants, sortis des laboratoires de l’Empire ou à etre vendues au marché des destinées-au-marché-esclavesesclaves pour des sommes variant entre 150 et 180 dollars.

Cette pratique ignominieuse, mise sur le dos de l’Islam, est une énième tentative de discréditer la religion musulmane. Cela étant dit, il ne faut pas perdre de vue que Daech est le cheval de Troie de l’Empire pour disloquer les pays arabes du Moyent Orient et prodiguer ainsi une « paix éternelle » au voisin israélien. C’est en fait l’application concrète du fameux plan du grand Moyent Orient formulé par Israël et les néo conservateurs américains et qui a commencé par l’invasion en 2003 de l’Iraq et à sa suite le non femmes-esclaves–1moins fameux Printemps arabe.

Aujourd’hui, en Iraq et en Syrie, en sus du jihad al niqah (jihad sexuel), les combattants de Daech ont réduit à l’esclavage sexuel des milliers de femmes alaouites, chrétiennes, yezidi, chiites, qu’ils ont capturées comme butin de guerre. Pour ce faire ils ont instauré un marché public de femmes esclaves. Celles-ci sont vendues à tous ceux qui sont prêts à payer. On sait notamment que des habitants de ces contrées ont réussi à libérer certaines filles en les rachetant tout simplement aux criminels. Avant d’être exposées dans des cages pour être vendues, ces malheureuses sont d’abord, dans un premier temps, offertes aux jihadistes.

Ne se suffisant pas de la vente publique de ces femmes, et pour rentabiliser cette « marchandise », ils ont même créer des maisons closes. Des témoignages ont révélé que certains de ces lieux sordides sont gérés par des femmes musulmanes ayant des passeports européens.