On l’a dit et on le répète, ça va être une saison chargée et riche en événements pour le club de l’antique Cirta, lancé sur trois fronts avec un effectif qui a de la qualité mais pas la quantité. Ce sera le pari fou des dirigeants du CSC en cette saison de 2014. En effet, la CAF vient d’informer que le match du premier tour préliminaire qui opposera le CSC face à la formation nigériane du FC Njilak aura lieu le samedi 8 février, à 16h.
Mais le plus étrange c’est que ce jour-là, il y aura un match de championnat chez nous. Le CSC affrontera le MOB à Béjaïa. Devant cet étrange hasard et cette coïncidence bien voulus des Nigérians, pour la première foi dans l’histoire du club, il y aura deux CSC qui joueront en même temps ce jour-là. Kerbadj pourrait bien faire un geste sympathique en avançant le match du MOB à vendredi. Il y a la possibilité de jouer à 18h, mais après l’incident des projecteurs que les Mobistes ont vécu précédemment face à l’USMA et qui leur a coûté les trois points, on imagine mal les Crabes accorder une faveur au CSC.
Simondi sera au Niger, Medjahed à Béjaïa
Les deux matchs du CSC risquent de se jouer dans la même journée et à la même heure. Les Sanafir suivront les résultats de deux équipes et auront le cœur partagé en deux, pour la première fois de leur vie peut-être. Le staff technique a déjà préparé son plan pour faire face à cette situation inhabituelle. Simondi se rendra avec 14 autres éléments au Niger pour diriger l’équipe face au Njilak, alors que son adjoint, Nabil Medjahed, se rendra dans la même journée à Béjaia avec le reste de l’effectif, pour disputer un match de championnat.
Le CSC bénéficiera d’un vol spécial
L’actionnaire majoritaire tiendra sa promesse en mettant à la disposition du CSC son vol spécial pour le Niger. D’après nos informations le CSC ralliera la capitale, Niamey, vendredi 7 février, jouera le match le samedi et rentrera à Constantine directement après le match. On peut dire que l’aventure africaine peut à présent commencer pour le CSC.
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Boulhabib compte se retirer de la SSPA/CSC
Coup de tonnerre hier à l’entraînement du club. Lors de la séance matinale, Boulhabib a eu une petite réunion improvisée avec les joueurs et le staff technique. C’était l’occasion pour lui de dire aux présents qu’il comptait se retirer des affaires de la SSPA. La raison avancée était l’agression verbale dont il a été victime avant-hier. Malgré la plainte déposée par Boulhabib contre le soi-disant supporter, cela ne l’a pas rassuré, lui qui aurait dit aux joueurs en avoir un peu assez à cause des conditions de travail.
Recruter un soigneur, la nécessité du moment
La direction a recruté cet hiver deux nouveaux entraineurs, trois joueurs aux profils intéressants, mais elle a oublié peut-être l’essentiel, à savoir renforcer le staff médical de l’équipe, le kiné Chalabi fait tout le boulot en solo et cela n’est pas suffisant. Avec cette division de l’équipe en deux prévue samedi prochain, le CSC est obligé d’engager un nouveau soigneur pour qui viendra renforcer le staff médical du CSC. Simondi devra faire pression sur la direction.
Les Sanafirs veulent se rendre à Niamey !
Il n’y a pas plus aventureux et voyageurs que les Sanafir en Algérie. C’est indiscutable. On a appris que bon nombre de fans ont déjà réservé des billets d’avion à Air Algérie pour se rendre au Niger la semaine prochaine, alors que d’autres sont à la recherche de la meilleur méthode pour faire ce long voyage. Le plus amusant dans l’histoire est qu’il y en a certains qui sont prêts à prendre la route vers le Grand-Sud pour rallier Niamey. Chiche !
Bezzaz et Maïza n’ont pas terminé la séance
C’est une séance de reprise qui s’est déroulée dans une ambiance festive. Les joueurs ont eu droit à un accueil très chaleureux des Sanafir qui ont tenu à saluer la belle performance de leur équipe qui, rappelons-le, a éliminé l’Entente chez elle à Sétif. Le portier Si Mohammed a eu la grosse part des compliments et mots d’encouragements. Le reste a eu aussi sa part, le tout dans un climat très spécial. L’autre information de la journée est la présence de la totalité de l’effectif sur le terrain réplique de Hamlaoui, même le directeur de la SSPA/CSC, Boulhabib, était présent lors de cette séance. Il a discuté avec Simondi du volet technique comme ça se fait un peu partout. Après cela, le coach constantinois a parlé longuement avec son groupe, avant le début de la séance, dans un discours motivateur qui avait comme but de remercier les joueurs et surtout de leur conseiller de garder les pieds sur terre. Enfin deux joueurs n’ont pas pu aller au bout de la séance, Bezzaz et Maïza ont préféré continuer la séance avec des tours de pistes en solo, à cause de leurs pépins physiques.
Sameur : «Je suis prêt à jouer même gardien de but !»
Le jeune milieu de terrain, Sameur, a été incorporé en tant que récupérateur face à l’ESS. Un poste inhabituel pour l’enfant de Khenchela qui est plus milieu offensif, mais le jeune se met à la disposition de Simondi et son club employeur, en acceptant de jouer là où le staff le décide. Sameur nous a déclaré : «Je suis très heureux de cette qualification méritée. Je pense que mon rendement a été bon en tant que récupérateur. J’ai déjà évolué dans ce poste lorsque je jouais en cadet et junior avec l’USMK. Quand Simondi m’avait demandé de jouer à la récupération, j’ai tout de suite accepté car je défends les couleurs du CSC. Je suis prêt à jouer dans n’importe quel poste, même gardien de but si on me le demande, car une équipe de la trempe du CSC te pousse à tout accepter pour ce club.»
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Boulhabib victime d’un 2e accident de la route !
C’est une saison vraiment spéciale et fatigante pour Mohamed Boulhabib. Le nouveau directeur de la société sportive a vécu une soirée stressante, avant-hier soir. Ce dernier a été victime d’un accident de la route. Le deuxième cette saison, après celui d’octobre dernier. La différence entre les deux accidents est que celui-ci a eu lieu au centre-ville lorsque Boulhabib se rendait à son bureau situé à Bellevue. Heureusement pour le dirigeant constantinois qui s’en sorti sans le moindre pépin physique, ce qui reste le plus important dans ce genre de circonstance.
Après la Mercedes, c’est au tour de la Renault Symbol
Tout le monde connaît Boulhabib et son tempérament sulfureux. Avant de prendre le volant de sa voiture Renault Symbol, il avait eu un accrochage verbal avec un supporter lors de la séance de reprise de lundi après-midi. C’est probablement cette colère qui a été derrière son second accident en l’espace de cinq mois. Ce qui est certain, c’est que le service des assurances aura rendez-vous avec lui qui a bousillé une Mercedes lors du premier accident et en a fait de même cette fois avec une Renault Symbol. Cela doit servir de signe pour l’intéressé, c’est le moment peut-être pour Boulhabib de repasser son permis de conduire, histoire d’améliorer sa conduite.
