Crash d’un avion en France : un Algérien parmi les victimes

Crash d’un avion en France : un Algérien parmi les victimes

Un avion de tourisme s’est craché dimanche dernier en France, et plus exactement en région parisienne. À bord de l’appareil, il y avait un instructeur et trois élèves pilotes. Parmi les trois élèves, tous décédés, figurait Yazid Aissani, un ressortissant Algérien originaire de béjaia, qui a trouvé la mort suite à cet accident.

Le crash est survenu ce dimanche 18 avril vers 14 h, à Saint-Pathus, en Seine-et-Marne, près de Paris, dans un champ à 50 mètres d’une route départementale, à une vingtaine de kilomètres des pistes de l’aéroport de Roissy. Il a fait quatre victimes et a suscité l’émoi au sein de la société Française. Selon le journal Français le Parisien, à son bord de cet avion, il y avait un instructeur et trois élèves pilotes, l’appareil se dirigeait vers l’aérodrome de Lognes-Emerainville.

Parmi les trois élèves pilotes, il y avait un ressortissant Algérien. Yazid Aissani. Le défunt travaillait dans le domaine de l’Ingénierie aéronautique. Yazid aimait son travail, il était aussi un féru de musique. Le trentenaire est décédé dans ce crash en région parisienne.

« Afin d’aider la famille de Yazid (et avec leur autorisation), nous avons levé une cagnotte qui servira pour les obsèques. L’ensemble des fonds seront reversées à son épouse Nora. Repose en paix mon ami ». A indiqué un ami du défunt sur les réseaux sociaux.

L’avion ne pouvait pas voler au-dessus de 500 mètres

Selon le journal Français Le Point, l’avion touristique qui s’est craché dimanche dernier est un appareil de type Robin DR400, fabriqué en France. L’avion touristique ne pouvait pas volait au-dessus de 500 mètres, a précisé la même source.

Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte par le parquet de Meaux. Laureline Peyrefitte, la procureure de la République de Meaux qui s’est déplacée sur les lieux de l’accident, a déclaré que « La trajectoire du vol est en cours de validation ».

De leur côté, les experts du bureau d’enquête et d’analyse de l’aviation civile, essayent de se mettre sur une piste qui pourrait leur indiquer une raison technique qui serait derrière ce malheureux crash qui a couté la vie à quatre personnes.