Covid-19 : nouvelle baisse au bilan de ce 17 février

Covid-19 : nouvelle baisse au bilan de ce 17 février

La situation sanitaire se stabilise après une 4ᵉ vague que les citoyens n’ont pas trop ressenti. La Covid-19 recule suite à la propagation du variant Omicron qui est dorénavant prioritaire en Algérie. Les spécialistes continuent d’appeler les citoyens à la vaccination.

Aujourd’hui, le 17 février 2022, le ministère de la Santé a annoncé 375 nouveaux cas de contamination à la Covid-19 en Algérie lors de ces dernières 24 heures. Une légère baisse est donc constatée par rapport au bilan d’hier qui a annoncé 424 cas.

En plus des cas de contaminations, l’Algérie a enregistré 10 nouveaux décès dus à des complications liées au coronavirus. Le communiqué du département de Benbouzid a également dévoilé que 19 patients ont eu besoin d’un transfert en urgence aux services de soins intensifs, et que 323 autres patients sont désormais remis sur pied.

Les derniers chiffres dévoilés par le ministère de la Santé ce jeudi font porter le total des cas de contamination à la Covid-19 en Algérie à plus de 264.816 cas. Le nombre de décès quant à lui continue d’augmenter, il attend aujourd’hui les 6.769. cas, selon les chiffres donnés par les instances sanitaires officielles.

Fin du covid ?

Beaucoup parlent de la fin de la pandémie du coronavirus, mais est-ce vraiment ce qu’on est sur le point de vivre dans les prochain mois ? Selon le président du Conseil scientifique français, Jean-François Delfraissy, on va droit vers « début d’une nouvelle ère » caractérisée par une « circulation contrôlée du virus » du Covid-19.

Cela veut dire que de temps à autre, ce professeur prévoit « des pics épidémiques ». Cela serait un début de sortie de crise, selon lui.

Deux ans de pandémie. Suite à maintes rebondissement « nous sortons du stade de “crise” pour entrer dans une phase chronique », indique le professeur. On va droit, mais tout en douceur, « vers une situation endémique, avec une circulation contrôlée du virus ».

Cette phase sera atteinte vers l’automne, indique-t-il. Il ajoute que « de temps en temps des pics épidémiques dus à l’apparition de nouveaux variants. En clair, nous vivrons encore longtemps avec le Sars-Cov-2, mais de façon différente ».