Covid-19 Algérie : le bilan des contaminations en baisse ce 18 juin

Covid-19 Algérie : le bilan des contaminations en baisse ce 18 juin

Les derniers chiffres de la Covid-19 communiqués par le Ministère de la Santé indiquent que l’Algérie a enregistré un bilan total s’élevant à 265.971 contaminations, 6.875 décès et 178.458 guérisons. Et ce ; depuis mars 2020, soit depuis l’apparition du virus dans notre pays.

Le bilan Covid-19 communiqué ce samedi, 18 juin 2022, par les services du Ministère de la Santé indique que trois (3) nouvelles contaminations au Coronavirus, ont été recensées au cours de ces dernières 24 heures ; contre quatre (4) cas rapportés hier. En légère baisse par rapport au bilan d’hier ; les contaminations quotidiennes se maintiennent sous la barre symbolique des dix car par jour.

Concernant les guérisons ; le département du Ministre Benbouzid a enregistré trois (3) nouveaux cas de guérison ; contre quatre (4) cas de guérisons hier.

Les derniers chiffres Coronavirus du Ministère de la Santé restent réjouissants par rapport aux décès et aux patients en soins intensifs. Car tout comme les jours passés ; le bilan de ce samedi ne compte aucune victime emportée suite à des complications liées à la Covid-19 ; ni aucun patient se trouvant en soins intensifs.

Vers l’élaboration de lois pour gérer le marché des compléments alimentaires en Algérie

En marge d’une conférence nationale sur les compléments alimentaires ; le Président de la Fédération algérienne de pharmacie (FAP), Professeur Abdelhakim Boudis, a souligné la nécessité de l’élaboration de lois pour assurer la gestion et l’organisation du marché des compléments alimentaires.

Lors de son intervention ; le Président de la FAP a fait savoir que ces produits sont actuellement soumis la gestion du Ministère du Commerce ; alors que leur gestion doit dépendre de trois ou quatre Ministères.

Dans ce même sens ; le Professeur Boudis a noté le fait que les compléments alimentaires sont vendus en pharmacies sans être soumis aux lois régissant les autres produits pharmaceutiques. D’où, selon lui, la nécessité d’élaborer des lois claires pour les compléments alimentaires ; dans le but de protéger le citoyen de leurs effets néfastes et définir leurs usages