Rolland Courbis a ses habitudes. Comme lire la presse chaque matin. Parmi ses titres favoris, Le Buteur qu’il ne rate jamais ou presque. Même en partance pour le Caire, le coach usmiste n’a pas manqué d’en acheter un à l’aéroport qu’il feuilleta à loisir dans l’avion. Il y lit ce qui se dit sur lui, sur son équipe et sur les autres clubs. L’on ne sait pas, cependant, s’il grince des dents quand un article lui déplaît. Jusque-là, Courbis ne se plaint jamais.
On ne la fait pas à Courbis
Ce n’est pas à un Courbis qu’on apprendra l’insulte. L’entraîneur de l’USMA, visiblement très exaspéré par les quelques insultes proférées à son encontre par des supporters usmites, a fait savoir en conférence de presse, s’il vous plaît, que «je comprends les insultes en arabe depuis que j’étais petit. Je suis un gars du Sud. Je sais ce que d..mok veut dire», a-t-il fait savoir. Il a dû fréquenter beaucoup de Beurs dans sa jeunesse.
