Un collectif de huit associations a adressé au ministère de l’Éducation nationale et aux organismes du secteur un plaidoyer pour rendre obligatoire l’enseignement de la langue amazighe à partir de la prochaine rentrée scolaire.
Sauf que ce collectif n’a pas pris en compte le paramètre du déficit en enseignants aptes à prendre en charge cette matière.