Convention de partenariat entre le ministère de la Formation professionnelle et la société Peugeot Algérie

Convention de partenariat entre le ministère de la Formation professionnelle et la société Peugeot Algérie

Une convention de partenariat a été signée jeudi à Alger entre le ministère de la Formation  et de l’Enseignement professionnels et la société Peugeot Algérie portant sur le développement des filières de formation liées à l’après-vente automobile selon les exigences et standards internationaux.

S’exprimant lors de la cérémonie de signature de la convention qui s’est tenue à la direction générale de Peugeot Algérie, le ministre de la formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, a fait savoir que l’objectif de ce partenariat est de « renforcer la relation entre l’entreprise et les établissements de la formation professionnelle à travers un programme de collaboration durable afin d’assurer l’adéquation de la formation avec les exigences de l’emploi ».

M. Mebarki a indiqué que « 50 points de Peugeot seront concernés par cette convention de partenariat », qui sera selon « une véritable opportunité à saisir pour son département afin d’assurer un accompagnement efficient des diplômés visant leur insertion professionnelle.

Il a précisé que la signature de cette convention s’inscrit « dans le cadre des préparatifs pour la prochaine rentrée de la formation professionnelle, prévue en septembre prochain, afin de réponde à la forte demande des jeûnes désireux de se former dans la maintenance automobile ».

En visitant le centre de la formation professionnelle (ITEEM) à Oued Smar, le ministre a mis l’accent sur la nécessité de la formation des formateurs dans les spécialités de la maintenance du véhicule, la carrosserie, la peinture, le magasin et toute nouvelle spécialité identifiée dans le domaine.

Pour sa part, le Directeur général de Peugeot Algérie, Yves Peyrot des Gachons, a souligné la nécessité d’investir dans la formation des jeunes, notamment avec la technologie « qui évolue à grande vitesse » dans le domaine automobile et de continuer à « nouer des liens de partenariat avec les pouvoirs publics dans l’intérêt des deux parties ».