Par A. Zerzouri.

En période estivale, donc, «nous avons affaire généralement à des fonctionnaires, des clients, qui sont des abonnés en force ou achètent des tickets par paquet de 10, avec lesquels on ne rencontre pratiquement aucun problème». Ajoutant qu’il reste quand même ces fraudeurs irréductibles, qui voyagent entre deux stations et se croient permis de ne pas acheter de ticket de voyage, ainsi que d’autres fraudeurs qui descendent des rames à la montée des contrôleurs et qu’on ne peut attraper. En tout cas, estime le contrôleur de la Setram, il est loin le temps où le taux des fraudeurs dépassait les 20%. La multiplication des contrôle dans les rames, ainsi que l’expérience acquise par les contrôleurs, a permis de réduire la fraude. Et l’on aspire à mieux, nous dira-t-il, à travers la dissuasion qui s’ensuit de la verbalisation et des poursuites judiciaires qui s’ensuivent, ainsi que la sensibilisation des voyageurs, qui doivent veiller sur la bonne santé financière de ce moyen de transport moderne qui leur rend de très grands services.