A. El Abci

Malheureusement, tout est tombé à l’eau dernièrement. Le P/APC vient de signifier son refus, en disant que l’endroit ne s’y prête pas et qu’il va falloir le reporter, jusqu’à trouver le lieu le mieux approprié pour son aménagement», disent-ils. Nos interlocuteurs des 106 logements évolutifs ne se limitent pas à ce seul aspect, et en énumèrent d’autres, à l’instar des fidèles de la mosquée en face de la cité, qui, aux heures de prière stationnent leurs voitures sur les trottoirs de devant la cité, poussant les piétons à descendre sur la chaussée dans leur déplacement. Et de signaler en outre, les parents d’enfants qui font des entraînements deux fois par semaine, au niveau du stade municipal situé aussi à proximité, et qui pour les récupérer n’hésitent pas non plus à stationner leurs voitures n’importe comment, ajoutant à l’anarchie des lieux.
Le résultat de tout cela pour les habitants, c’est qu’à leur sortie de la cité, ils se trouvent énormément gênés par une visibilité réduite, du fait de cette grande pagaille de stationnement sur la chaussée et sur les trottoirs. «Dans ces conditions, nous avons proposé à la mairie de Didouche d’aménager un parking dans un espace assez grand, situé à droite de l’entrée de la cité, qui a servi auparavant d’aire de jeux pour enfants, et qui a été abandonné après et retourné à l’état de piste. Son aménagement en parking soulagera les habitants des affres des encombrements de voitures devant leur cité. L’APC a promis d’étudier la question et nous attendons toujours du concret», concluent-ils.